💥💥CYCLE POLITIQUE*NUIT BLANCHE*20H-2h00*💥💥

⚡️Séance en trois parties pour soutenir La clef revival ⚡️

💰PRIX LIBRE _ Ouverture des portes 19h30, séance 20h00

💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣

1_ A QUOI RÊVE LE PEUPLE : UTOPIE ET RÉVOLTES
20h00-22H00

On pourrait imaginer le peuple comme cette entité près de ses sous et pragmatique, qui positive avec Carrefour, travaille plus pour gagner plus, fantasme un salaire pour assouvir un costard, afin de mépriser le peuple.
Bref l’aboutissement du peuple serait sa destruction.
Pourtant, le peuple, c’est aussi un cri, sourd parfois, une résignation qui s’arme, la dangereuse masse laborieuse du creux des nuits sans soleil, qui s’en va en guerre contre les bourgeois, ce vaste tas de chair larvée d’opulence, ces êtres dont l’existence s’enferme : « entre une digestion et un compte en banque » !

📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣📣

2_DES MOMENTS ET LEURS HOMMES
22h00_00H00

L’histoireavecungrandH comporte autant de Moments que d’Hommes, qui pérorent aux cotés de monuments commérotatifs que des badauds visiteront.
Le grand homme, c’est celui qui part à la conquête du monde, tantôt un chef, un leader, un dieu, un modèle, presque une morale. Mais dans cette dialectique de prise de pouvoir, son humanité doit se mettre à la porté du peuple et l’homme providentiel montre qu’il est « comme tout le monde ». En effet, il boit de la coronora, possède un compte en banque au crédit mutuel de Sablé Sur Sarthe et déguste des toats de pâté dans les foire de France.
Bref le grand Homme c’est celui dont l’ombre se met à la portée des petits hommes.

☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭☭

3_LA POLITIQUE PEUT-ELLE CASSER DES BRIQUES ?
00h00-02h00

Maçons des constructions en zigzags, bricoleurs des occasions qui font des larrons, artistes clochardisés des institutions étatiques, fonctionnaires erratiques et membres assidus de la cinémathèque ou sportifs des big datas. Tous oeuvrent dans une existence qui a fait le deuil du bonheur. Ainsi changer le paradigme minable qui régit le quotidien, passe davantage par la réalisation de délires ou la destruction du matériel public, que via l’expression d’un projet réformiste et progressiste.
Même Karl Marx ne se trompe pas de cible lorsqu’il écrit que :
 » le triomphe de la bourgeoisie a noyé les frissons sacrés de l’extase religieuse, de l’enthousiasme chevaleresque et de la sentimentalité à quatre sous dans les eaux glacées du calcul égoïste. »